« The Confessions » d’Alexander Zeldin au Théâtre de l’Odéon – entre Courbet et Hopper, hésitation esthétique pour un récit féministe

Milieu des années 1980, une revue sollicite Marguerite Duras pour qu’elle lui retrouve un texte de jeunesse à publier. Dans ses recherches, Duras tombe sur un journal qu’elle avait oublié, dans les placards de sa maison à Neauphle-le-Château. Ce journal, « La Douleur », elle l’a commencé en avril 1945, quand dans la France libérée, elle espérait le retour de son mari, Robert Antelme, résistant fait prisonnier politique et envoyé dans un camp un an plus tôt.…
Le soir-même d’un réveil douloureux à Saint-Denis, qui a donné le sentiment qu’il s’agissait bien d’une guerre alors que cinq milles balles ont été tirées lors des perquisitions qui ont eu lieu suite aux attentats du 13 novembre, Jean Bellorini avait décidé de maintenir les représentations des deux spectacles à l’affiche du TGP, M’appelle Mohamed Ali, de Dieudonné Niangouna, et Trissotin ou Les Femmes savantes, mis en scène par Macha Makeïeff.…
Peu après avoir écrit L’Idiot, Dostoïevski s’attaque à un projet qui détonne au sein de la production de ses dernières années. Avec L’Eternel Mari, il ne s’agit pas d’une œuvre-fleuve qui multiplie les personnages et superpose les intrigues. Ce roman reprend le schéma traditionnel du théâtre de vaudeville, formé par le triangle amoureux du mari, de la femme et de l’amant, et en propose une version originale.…