« Ce qu’il restera de nous », Vincent Macaigne – bribes de notes

Ce qu'il restera de nous - amour
Le cri
La parole qui devient monologue
L’agressivité
Les affrontements hurlés – le discours que l’on entend écrit

La condamnation des faibles, des martyrs, et l’éloge contre eux de la volonté de puissance – Hippolyte
La beauté et l’amour réclamés à corps et à cris, avec violence – Nastassia, Aglaïa
La relecture de l’histoire et des mythes, les références culturelles rebattues – Lebedev

Marginal qui entreprend de poétiser le monde
L’artiste non reconnu
L’artiste qui impose son exigence aux autres

La mort, le décès. L’héritage, l’argent – en trop ou manquant
Les images de mort
Les douleurs qui font hurler
La musique en soutien ou dans les creux, quand il ne reste plus rien à dire

La critique de la société, des études élitistes, des grandes boîtes – le rêve qu’on abandonne pour elles, l’art délaissé

La violence physique et verbale
La dialectique force/faiblesse, l’affirmation d’une puissance contre le constat de sa propre faiblesse

Le corps nu
Le corps défait par la douleur – en gros plan
Le corps maquillé, défiguré par les matières

Moments de crise, vérités insoutenables
Revirements amour/haine ; amour/destruction dans le couple
On supplie celui qui nous humilie, nous détruit
Le désespoir absolu, extrême, exprimé au plus fort

Ce qu'il restera de nous - cri
Notes sur le court-métrage Ce qu’il restera de nous de Vincent Macaigne,
depuis la perspective de son spectacle Idiot ! Parce que nous aurions dû nous aimer

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