Le Théâtre du Centaure de Luxembourg s’empare de l’adaptation française d’Antoine Vitez pour monter la pièce de Sophocle, Electre. Si le matériau d’origine est prometteur, le projet est trop ambitieux et le résultat décevant.…
– une paire de chaussures en moins (elle n’a pas tenu le coup)
– une excellente adresse pour prendre un repas (le Zinzolin)
– 40 tracts pour… (l’usage reste à déterminer)
– une trentaine de piqûres de moustique
– des jambes bien musclées
– quelques heures de sommeil à récupérer
– une bonne leçon : pas besoin de pantalon, ni de pull, ni de gilet en plein été à Avignon
– des images plein la tête, et peut-être l’envie de renouveler l’expérience (avec plus d’organisation, moins de spectacles par jour, un logement fixe et une bonne dose d’énergie !)…
Le décor inspire et séduit dès l’entrée, les costumes sont magnifiques et les huit comédiennes sont en parfaite harmonie. Le spectacle que nous propose le théâtre de l’Enfumeraie, très abouti et très novateur, propose une lecture complète du mythe d’Electre.…
Moi je ne suis plus dans le jeu. C’est pour cela que je suis libre de venir vous dire ce que la pièce ne pourra vous dire. Dans de pareilles histoires, ils ne vont pas s’interrompre de se tuer et de se mordre pour venir vous raconter que la vie n’a qu’un but, aimer.
Mariette ? C’est la domestique des Deume, et surtout, celle qui a suivi Ariane d’Auble depuis son enfance jusqu’à sa vie d’épouse non-épanouie. Tirés textuellement du roman d’Albert Cohen, Belle du Seigneur, ses soliloques mêlent à ses petits soucis quotidiens le dessous des humeurs de sa maîtresse.…
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