« Présences du roman dans le théâtre contemporain »

2 Comment

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1. 

   Une œuvre d’art…
2. 

   Bonjour,
   Je termine le tome 1. Cette année qui me voit m’approcher du grand âge a été celle aussi des grandes lectures. Après une vie à absorber les classiques comme les contemporains, j’ai abordé en 2020 certains ouvrages particulièrement longs qui me semblaient plutôt rébarbatifs. Mon cher Proust, avec sa Recherche que j’ai absorbée il y a beaucoup plus longtemps est toujours resté le plaisir le plus intense. Peut-on imaginer compagnon plus distrayant, intelligent et subtil que Proust dans la durée? D’ailleurs La Recherche est mon livre à emporter sur une île déserte où il n’y aurait rien d’autre. Mais l’année qui s’est terminée hier a été celle d’Ulysse, acheté d’ailleurs à Dublin et en anglais, comme il se doit, &de « Infinite Jest » de David Foster Wallace, (connaissez-vous?), deux ouvrages dont j’avouerai ne pas avoir lu chaque mot. Et là je termine le Tome 1 de l’homme sans qualités, proprement extraordinaire dans la justesse, y compris ou peut-être même surtout dans les digressions, D’ailleurs, il n’est que digressions. Mais je ne me vois pas abordant le tome 2, même incomplet, il fait quand même plus de 1400 pages. Et mes lectures à faire pour 2021 font quand même une bonne trentaine d’ouvrages alignés dans ma chambre. Je commence donc ma lecture de nuit (le jour, j’écris moi-même et suis poète et romancière avec quelques volumes récents sous la ceinture) une vingtaine de pages de Musil, puis le roman du moment, là c’est « The Handmaid’s Tale » de Margaret Atwood, étonnant, mais se fatigue-t-on jamais des descriptions parfaites de totalitarismes? En tout cas, bravo pour votre excellent exposé, mais je vois d’après vos thèses que vous êtes coutumière du fait. Je m’inscris à votre newsletter, je vois dans un rapide parcours qu’il y a là matière à discussion. Bravo et bonne année.