« Et pourtant j’aimerais bien te comprendre… » de Yuri Yamada à la Maison de la Culture du Japon à Paris – initiation douce au féminisme par le théâtre

« Quand on aime on ne compte ». Le guichetier de l’Odéon a bien raison, quand on aime Novarina, on peut bien endurer deux heures et demie de spectacle. Après sa découverte il y a trois ans à la Colline, ce sont de vraies retrouvailles, de celles qui nous montrent que l’on ne change pas tant que ça.…