« Les Frères Karamazov, par MM. Jacques Copeau et Jean Croué (d’après Dostoïevski) au Théâtre des Arts », Jacques Rivière
Des mille raisons qui semblaient rendre impossible la transcription dramatique des Frères Karamazov, voici, je pense, la plus grave : l’abondance extraordinaire du roman est un des éléments essentiels de sa beauté ; il ne serait pas ce qu’il est, un des plus accablants chefs-d’œuvre de la littérature, s’il avait cent pages de moins.…